Tout et son contraire…

On entend tout et son contraire. Deuxième vague, pas de deuxième vague. Le masque ne sert à rien et maintenant, amende si on ne le porte pas. Les mesures préventives et curatives prises par le gouvernement français sont-elles adaptées à la situation réelle ? Se laver régulièrement les mains, le respect de la distanciation physique, bon tout le monde a l’air d’accord. Quant au port du masque… là encore tout le est le contraire de tout ! C’est à croire que ceux qui gouvernent veulent maintenant faire oublier les erreurs faites par le passé, en durcissant tout, des mois après, alors que des centaines d’experts ont l’air de dire que ce à quoi on assiste n’est pas une deuxième vague. La mortalité n’est plus du tout la même, etc….

Ne parlons même pas de la panique et du temps pour obtenir les résultats des tests… La France, dont la médicine est probablement l’une des meilleures au monde, se place parmi les 6-8 pays à enregistrer le plus grand nombre de morts par million d’habitants et elle n’est qu’au 100^ème rang en termes de pratiquent de tests. Est-ce qu’on ne sait pas faire du tout et si c’est le cas pourquoi ne pas demander de l’aide à ceux qui ont réussi pour savoir comment ils ont fait. En Allemagne par exemple, le port du masque n’est pas une obligation. Mais en contrepartie, ils ont testé massivement et isolé certaines personnes dès les premières épidémies. Et pourtant, ils ont de bien meilleurs résultats. Et cette stratégie n’est même pas encore pratiqué en France, 6 mois après qu’on ait vécu la même situation ! Qu’est-ce qu’on fait au juste ?

La vie en cage, jusqu’à quand ?

Au delà de tout cela, nous sommes désormais des millions à vouloir que la situation revienne à la normale et les politiques et la presse dans le monde entier ne font que ressasser : rien ne sera plus jamais comme avant… Rien ne sera plus jamais comme avant… A croire qu’il prenne plaisir à nous faire peur dans l’attente de la sortie d’un vaccin et pour être sûr qu’on y passe tous…

C’est sûr, le coronavirus a causé un grand bouleversement dans le monde entier. Je ne parle même pas des personnes qui ont perdu leur emploi face à cette situation. Mais quand est-ce qu’on va enfin pouvoir revivre un peu normalement et sortir de ce régime de terreur permanente et de pression psychologique qui n’en finit plus ? Quand est-ce qu’on va commencer à reconstruire, même doucement, même avec précaution, sans avoir des gens sur le dos, qui continuent de nous faire peur ?

Du côté voyage et tourisme, c’est encore une tout autre affaire. Etant inconditionnelle des grandes aventures, le Covid a tout mis par terre. J’ai l’impression d’être en cage. Confinée chez moi d’abord et maintenant confiné en France, dans ma région, … de telle heure à telle heure… Ici, oui, là non…. Marre… Même les fêtes et les festivals habituels de l’automne continuent d’être annulés les uns après les autres… On n’a compris on fait attention on s’est enfermé des mois, qu’est-ce qu’il vous faut de plus ? Alors oui marre du covid. Je prie pour cette situation se règle bientôt et j’envoie mes pensées à tous ceux qui en souffrent ou en ont souffert.

The post Mes coups de gueule : marre du covid appeared first on lachroniquedolivia.com.

Attention, je ne dis pas que je suis une grosse joueuse professionnelle. Loin de là ! J’aime bien me divertir de temps à autre et je joue donc plus que modérément. Etes-vous aussi de ceux que les jeux intéressent ? Je serais curieuse de le savoir. Avant, si vous n’aviez pas, comme moi, la chance d’avoir un casino pas loin de chez vous, il fallait se contenter de jeux un peu vieillots (faire un loto ou un jeu de grattage). Maintenant avec le web et les jeux en ligne c’est devenu beaucoup plus populaire et je rencontre souvent des gens qui ont essayé au moins une fois de jouer au casino en ligne et à qui ça a plu.

Mon goût pour les jeux et un vieux rêve

De mon côté, j’ai découvert le monde des jeux vers l’âge de 16-18 ans. Je vous parle ici de gin-rami, de bataille et de poker, et non pas des jeux vidéo sur PS ou Xbox. Pendant les vacances d’été, ma famille, moi et quelques proches avions l’habitude de nous retrouver pour jouer ensemble. Je pense que c’est à cette période de ma vie que j’ai pris goût aux jeux. A l’époque, même si on jouait pour rien, j’aimais bien ce suspense durant la partie où tout peut basculer en un instant. A la maison, il y avait aussi le loto de la semaine et on se pelotonnait souvent tous sur le canapé en attente des résultats. Quand on gagnait même presque rien, c’était toujours un moment de joie.

Plus tard, je me rappelle de la première fois où j’ai mis les pieds dans un vrai casino. J’avoue qu’il m’a été assez difficile de sauter le pas et de franchir les portes de l’établissement. Moquette, luxe, décoration et tout le personnel tiré à quatre épingles, même accompagnée, je me souviens de m’être sentie impressionnée.

Les premières fois je me suis contentée de mettre un jeton ou deux dans une machine à sous, mais je voulais vraiment savoir ce que ça faisait de s’asseoir à une table de poker ou de blackjack 21. Jouer contre d’autres adversaires, ça s’annonçait excitant et terrifiant à la fois. Mais franchement, une fois passé le cap, j’ai passé un super moment. L’atmosphère était électrisante. On sentait carrément la tension dans l’air. Et puis, c’est un tout, les bruits de machines à sous autour qui se mélangent à la voix des croupiers annonçant le jeu. C’est de ce jour là, je crois que je me suis dit qu’un jour, je m’envolerai pour Las Vegas pour jouer dans les célèbres casinos comme ceux qu’on voit dans les films. C’est devenu un peu un rêve et bien sûr je n’irais pas que pour jouer à la machine à sous ou au black jack, j’irais aussi pour voir tout ce qu’il y a y faire : les grands spectacles, les concerts, les expéditions autour dans le grand canyon,…

Découverte d’un casino en ligne

Avec le Covid-19 et les restrictions sanitaires, ce n’est que depuis peu que j’ai pu re faire un petit tour au casino de Toulouse. En fait, je n’y avais pas mis les pieds depuis l’été dernier. Le temps passe et mes activités me prennent du temps. Je n’y pensais même pas tellement. Pendant le confinement, un ami m’a envoyé l’adresse d’un casino en ligne et je suis allé voir à quoi ça ressemblait. Je me méfiais un peu au début parce que dans un vrai casino, on se sent plus vite en confiance. Disons j’ai plus l’habitude, mais bon, pas question non plus de mourir idiote… Ces établissements de jeux de hasard sont nombreux sur Internet et, apparemment, il en existe qui exercent avec une licence en France. D’après ce que j’ai compris, Il faut simplement bien vérifier qu’il soit sous le contrôle de l’Autorité Nationale des Jeux (ANJ). C’est une administration qui certifie que le casino est conforme aux lois et normes en vigueur. Les licences délivrées par cette institution assurent un environnement de jeu en toute sécurité, sans risque de fraude ou de vol de données.

Finalement, même si je n’ai pas misé du tout et que je me suis contenté des modes gratuits, j’ai été assez impressionné par ce casino en ligne. Les divertissements proposés sont super nombreux. Machines à sous, roulettes, blackjack, keno, baccarats, craps, poker, etc… Il est possible de trouver toutes les variantes de ses jeux favoris et je crois bien que je n’avais jamais vu autant de machines à sous de ma vie : 3 rouleaux, 5 rouleaux, une ou multi lignes de paiement, avec ou sans jackpot progressif, en 3D, … Il y en a pour tous les goûts et toutes les thématiques. J’en ai même essayé plusieurs gratuitement et j’ai passé un bon moment.

A part ça, pour finir sur ces jeux virtuels, contrairement aux machines à sous des casinos que je connais, certaines de celles que j’ai vues en ligne m’ont semblé offrir des taux de redistribution plus élevés. Egalement, je n’ai pas la prétention d’être une experte mais dans le nombre de machines proposés, certaines possédaient des fonctionnalités bonus que je n’avais jamais vu personnellement. Malgré tout cela, pour moi l’ambiance dans un casino physique reste très particulière. Alors, l’inscription dans les mondes virtuels, sera peut-être pour la prochaine fois mais j’avoue que, pour l’instant, je préfère mettre de côté pour un jour pouvoir m’envoler direction le Nevada et la grand ville de légende.

The post Découvrir les casinos de Vegas appeared first on lachroniquedolivia.com.

Pas grave ne nous laissons pas démonter ! Je vous raconte ici mes vacances à Madagascar. Cette petite île de l’océan Indien m’a offert vraiment des moments magiques que je souhaite partager avec vous. Avec ses habitants souriants, sa culture préservée, sa cuisine traditionnelle et ses magnifiques parcs naturels, Madagascar a fait chavirer mon cœur de globetrotteuse en herbe. J’y suis allé en 2018 pour un séjour de 2 semaines. Mais ça reste, sans aucun doute, les meilleures semaines de ma vie. Difficile de tout raconter dans le détail en un seul article, mais je vais déjà vous parler des lieux et des moments qui m’ont le plus marqué.

Le Parc National de Ranomafana

Avant mon départ, j’avais déjà entendu parler de ce parc via les forums et blogs de voyages. Du coup, je m’attendais à ce que plus rien ne me surprenne. J’avais tort. Une fois sur place, je m’en suis pris plein les yeux. L’expérience et les découvertes sont simplement inoubliables. Ce site se trouve entre les Hautes Terres centrales et la côte orientale de Madagascar.

Sur une superficie d’environ 41 600 ha, il est niché entre des collines, falaises et montagnes. C’est un joyau naturel dans un écrin végétal sans pareil. Prenez un guide si vous décidez un jour d’y aller. C’est le meilleur moyen. Vous profiterez ainsi de son expérience et de tout son savoir. Dans mon cas, c’était avec un guide local, un homme dans la trentaine très souriant (comme tous les Malagasy d’ailleurs).

Autre conseil, prenez aussi des chaussures de marche. Ce parc se découvre mieux à pied pour pouvoir apprécier pleinement sa flore et sa faune. Surtout, n’oubliez pas votre appareil photo pour immortaliser les moments forts. Ce que j’ai le plus apprécié au parc Ranomafana sont, bien sûr, ses animaux et sa végétation. Difficile d’imaginer que malgré sa taille modeste, il est l’habitat naturel d’un nombre incalculable d’espèces de lémuriens, papillons, reptiles, amphibiens et j’en passe. J’ai également été sans voix devant la variété et la beauté des orchidées, apocynacées, rubiacées et autres bois précieux. S’il existe un paradis sur terre, il doit ressembler sûrement un peu à ce bel endroit.

Nosy-Be, l’une des plus belles îles de Madagascar

Cette petite île se trouve au large de la côte nord-ouest et elle reste jusqu’à ce jour mon vrai coup de cœur à Madagascar. Depuis la capitale Antananarivo, il faut compter pas moins de 18h de route en voiture pour s’y rendre (environ 900km quand même). Il est possible de prendre un vol, c’est plus rapide, mais c’est un peu la solution de facilité et vous raterez la beauté du parcours.

Une fois sur l’île, le paysage semble tout droit sorti de cartes postales. Les nosy-béens sont gentils et très sympathiques, toujours avec le sourire aux lèvres. Pendant mon séjour, j’ai eu l’occasion de goûter à la cuisine locale, crevettes au lait de coco ou desserts à base les fruits tropicaux, je me suis régalée.

L’île offre une multitude d’activités, comme faire de la plongée dans les eaux translucides des Nosy Komba et Nosy Tanikely. Ce sont des îles voisines de Nosy-Be qu’il est possible de rallier en vedette rapide. Mais l’immanquable sur l’île des parfums, c’est l’ascension du Mont Passot, le point culminant de Nosy-Be avec ses 329 m de haut. Sur son sommet, la vue est à couper le souffle avec un magnifique panorama les paysages environnants, surtout au coucher de soleil.

Madagascar a fait partie de mes premiers grands voyages et je me suis jurée d’y retourner un jour, sûrement pour 4 semaines cette fois.

The post Madagascar : j’ai adoré. appeared first on lachroniquedolivia.com.